Photo: David Blackwell. cc |
Alors, si le Québec, une des régions les plus riches en énergies renouvelables au monde, n'a pas la clairvoyance de laisser son pétrole et son gaz là où il est et de s'appliquer à la réduction de sa consommation de combustibles fossiles, qui donc l'aura?
À l'heure où les effets assurément catastrophiques de l'utilisation des hydrocarbures sur le climat, l'agriculture, les pêches, la biodiversité et la santé des humains sont largement documentés, l'analyse des risques reliés à la méthode d'exploitation est un exercice futile, sinon malhonnête. Sortons de la pensée magique, sortons le Québec des énergies sales.