À moins d'avis contraire, toutes les projections débutent à 19h30 et une contribution volontaire de 5$ est suggérée.
18 janvier 19h30 : This changes everything (v.o. avec sous-titres français)
Ce documentaire, filmé durant 211 jours de tournage étalés pendant des années dans neuf pays et sur cinq continents, illustre la thèse développée par Naomi Klein dans son essai Tout peut changer : Capitalisme et changement climatique, à savoir que la crise climatique est « une chance de transformer notre système économique défaillant en quelque chose de radicalement mieux ».
La présentation sera suivie d'une discussion avec Geneviève Talbot, de Développement et paix, Osanne Juteau, de la Coalition Vigilance Oléoducs, et Stéphane Théorêt, du Conseil de développement communautaire Solidarités Villeray.
1er février 19h30: In transition 2.0 (v.o. avec sous-titres français)
In Transition 2.0 est le nouveau film de Transition Network. Il nous plonge dans des histoires venues du monde entier, dans le quotidien des gens ordinaires qui réalisent des choses extraordinaires: des communautés qui impriment leur propre argent, qui font pousser de la nourritre un peu partout, qui relocalisent leur économie et construisent des centrales d'énergie propre.
Le Mouvement de la Transition est devenu viral. C'est un laboratoire social qui cherche à répondre à des temps incertains avec un optimisme engagé, de la créativité et des solutions.
15 février 19h30: Hands on: women, climate change (v.f.)
HANDS ON suit cinq femmes de quatre continents qui
luttent contre les changements climatiques à travers la politique, les
manifestations, l'éducation et l'innovation.
Véritable tour du monde québécois, odyssée politique
montée sur des musiques qui font taper du pied, Manifestes en série
trace un portrait subversif et résolument moderne du Québec des années
2000. Sur 4 saisons, Hugo Latulippe et son équipe ont sillonné le pays
afin de fréquenter ces citoyens engagés qui ouvrent des voies de
solutions aux 4 coins du territoire. Visionnaires, apôtres du petit pas
et déplaceurs de montagnes, ils façonnent l’avenir dans les
secteurs-clés de l’activité humaine. Ils rêvent de plus de beauté,
d’humanité. Ils donnent le goût de changer le monde. Un geste à la fois.
Dans l’humilité du quotidien ou sur la place publique. À l’ère de
l’homo sapiens turbo, ces gens écrivent, bâtissent et cultivent
des manières pour que l’humanité progresse et se poursuive en
préservant un maximum d’équilibre et d’équité. De 1000 façons, avec les
mains ou avec les mots, ils incarnent une résistance à la mondialisation
des marchés. Ils osent dire : « et si nous redéfinissions notre manière
d’être humain? ». Cette série est un appel à l’action citoyenne. Un
chant d’espoir.
*La projection sera suivie d'une discussion avec le réalisateur, Hugo Latulippe.
11 avril 19h30 : Cultures en transition (v.f.)
A Cuba, en Angleterre, en France, la transition
culturelle est en cours vers un futur dépassant l’insécurité alimentaire
et les désastres écologiques.
Le film donne à voir des alternatives répondant à la triple menace du changement climatique, de la raréfaction du pétrole et des crises économiques. Les solutions sont simples, modiques et écologiques. Du balcon-potager à l'agroécologie au niveau national, elles favorisent les économies locales, les liens de voisinage, la résistance aux chocs extérieurs et la libre diffusion des savoirs.
La transition n’est pas une révolution mais une évolution, inspirée de notre histoire. C’est un projet convivial à l’opposé de l’exploitation industrielle. L’agriculture y devient la clé de voûte de la culture.
Le film donne à voir des alternatives répondant à la triple menace du changement climatique, de la raréfaction du pétrole et des crises économiques. Les solutions sont simples, modiques et écologiques. Du balcon-potager à l'agroécologie au niveau national, elles favorisent les économies locales, les liens de voisinage, la résistance aux chocs extérieurs et la libre diffusion des savoirs.
La transition n’est pas une révolution mais une évolution, inspirée de notre histoire. C’est un projet convivial à l’opposé de l’exploitation industrielle. L’agriculture y devient la clé de voûte de la culture.
25 avril 19h30: Le Semeur
En plein cœur des méandres de Kamouraska au Québec,
Patrice Fortier vit dans La Société des plantes où il préserve
minutieusement, tel un copiste du Moyen-Âge, les semences végétales
rares ou oubliées pour en faire des variétés « anciennes du futur ».
Patrice jardine en rêvant et transforme ses récoltes en projets
artistiques. Au fil des saisons, par la patience de ses gestes, il nous
transmet sa passion et ses connaissances tout en constituant sa banque
de semences. Ces germes de vie iront pousser dans des milliers de jardin
potagers à travers la planète… Ode à la biodiversité végétale et à son
patrimoine porté par un semencier original et génétiquement motivé!
Attention, l’impossible est en cours…
9 mai 19h00 : L'encerclement*
*EXCEPTIONNELLEMENT, LA PRÉSENTATION COMMENCERA À 19H.
À travers les réflexions et les analyses de plusieurs intellectuels de renom, ce documentaire trace un portrait de l’idéologie néolibérale et examine les différents mécanismes mis à l’œuvre pour en imposer mondialement les diktats.
Déréglementer, réduire la taille de l’État, privatiser, limiter l’inflation plutôt que le chômage, bref, financiariser et dépolitiser l’économie : les différents dogmes de cette pensée prêt-à-porter sont bien connus. Et s’ils s’immiscent lentement dans nos consciences c’est qu’ils sont diffusés à travers un vaste et inextricable réseau de propagande.
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